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 Articles dans des revues

HAL : Dernières publications
  • [hal-01585091] Bringing together social-ecological system and territoire concepts to explore nature-society dynamics
    We examine two academic traditions that address the nature-society interface. These traditions are organized around two main concepts: social-ecological system and territoire. These traditions have grown independently and are rooted respectively in ecology and social geography. We show that they have much in common: Both come with a systemic view of the nature-society interface and have the intention of understanding better the relations between nature and society and improving their sustainability. However, they differ in how they deal with space and society. We foresee that the combination of both traditions could improve the understanding of these systems, their definition, and their evolution, and hence, the capacity to assess and manage their resilience.
  • [halshs-01967781] Eaux sous « pressions » et développement des territoires périurbains en Méditerranée occidentale (Languedoc-Roussillon) La vigne, le Sphaeromide raymondi et les piscines
    Cet article propose d’analyser les facteurs d’évolution des dynamiques territoriales relatives à l’eau et au développement en contexte méditerranéen où la rareté de l’eau se conjugue aujourd’hui avec de fortes mutations démographiques, économiques et environnementales. L’exemple de la moyenne vallée de l’Hérault est illustratif d’une situation de changement où se posent les questions d’eaux sous « pressions » et de développement ; et permet d’identifier les germes des évolutions futures des modes de gestion.
  • [hal-02452317] Construction d'une destination touristique d'arrière-pays : La « Vallée des roses » (Maroc)
    Correspondant à la basse vallée de l’Assif Mgoun, et par extension, à une partie de la vallée du Dadès, la « Vallée des roses », est une destination touristique en cours de construction autour d’une spécificité locale qui est la culture de la rose de Damas. Mais bien que fortement médiatisée, notamment par les brochures publicitaires, la rose joue un rôle encore mineur dans l’activité touristique, malgré les efforts des hébergeurs, des acteurs locaux, des agences de voyage et secondairement de la puissance publique. De ce fait la destination qui se contente de l’effet d’appel d’une image originale et accrocheuse et d’un festival annuel de 3 jours sans faire l’effort de développer de vraies activités autour de la rose, a du mal à émerger. A cela s’ajoute une certaine indifférence des touristes qui ne font que passer. La destination du pays de la rose reste donc à inventer.
  • [halshs-01025527] La gestion de l'eau au Liban : une réforme confisquée ?
    Au Liban, au discours colonial du début du XXe siècle qui vantait l'abondance des ressources en eau a succédé la peur, aujourd'hui largement partagée, d'une menace de stress hydrique à l'horizon 2030. Ce retournement discursif contraste avec l'inertie des textes réglementaires régissant le droit d'usage de l'eau, et ce malgré les nombreuses entreprises de modernisation successives (période ottomane, Mandat, État moderne). Dès son origine, ce droit d'usage de l'eau est fortement corrélé au régime foncier. L'appropriation de ces deux ressources est un enjeu majeur au cœur des modalités d'exercice du pouvoir économique et politique. L'article envisage, sur le temps long, le contenu de différentes réformes ayant trait au domaine de l'eau. Quatre séquences sont privilégiées : le Medjellé ; la période mandataire ; les grands travaux d'après l'Indépendance ; la réforme entamée après la guerre civile. On observe d'intenses et continues luttes de pouvoir, entre de multiples acteurs, pour le maintien des multiples systèmes d'appropriation des ressources.
  • [hal-02602367] Le modèle institutionnel de l’eau potable au défi de sa durabilité : enjeux, acteurs et dynamiques de rationalisation en France métropolitaine
    Cet article rend compte des transformations des services d’eau potable engagées ces dernières décennies en France suite à la reformulation du problème de l’eau potable : on est passé en effet d’un enjeu de généralisation de la desserte à domicile à celui de mise en sécurité des services face aux menaces pesant sur leurs ressources et infrastructures. Prenant appui sur des enquêtes conduites au niveau national et dans six départements, nous revenons sur la reformulation du problème de l’eau potable et sur l’injonction à la rationalisation institutionnelle qui l’accompagne. Nous montrons comment la rationalisation se déploie en tant qu’action publique départementale portée par une coalition d’acteurs, Conseils Généraux et services déconcentrés notamment, dont les élus de l’eau sont la cible prioritaire. Nous présentons une typologie des arrangements territoriaux auxquels cette dynamique donne naissance, et qui apparaissent comme des compromis entre deux impératifs, de rationalisation mais aussi de proximité.
  • [hal-04193775] Les cartes redistribuées de la gestion locale de l’eau : la mise en œuvre de la réforme « Gemapi » dans l’aire métropolitaine montpelliéraine
    Une évolution importante est intervenue dans la gestion locale de l’eau à partir de 2014 avec la réforme dite Gemapi (pour « gestion des milieux aquatiques et prévention contre les inondations ») et son déploiement aux échelles locales. Cette réforme bouscule les équilibres entre institutions et redistribue les cartes entre les différents acteurs impliqués dans cette gestion, plus particulièrement entre les intercommunalités à fiscalité propre et les syndicats de bassin-versant. L’objectif de ce texte est, à partir d’une étude de cas à l’échelle de l’aire métropolitaine montpelliéraine, de mieux saisir les modalités, la portée et le sens de ces reconfigurations. Pour cela, il propose d’analyser comment a été mise en œuvre la réforme Gemapi , en inscrivant ce processus dans un contexte local et une trajectoire de gestion bien spécifiques. Il en ressort deux principaux enseignements : une absence de clarification des rôles ; une tendance à l’affirmation des intercommunalités à fiscalité propre et à l’affaiblissement des syndicats de bassin-versant, dont nous évoquerons quelques-unes des implications.
  • [hal-04211436] The Water Frontier: Agribusiness vs. Smallholder Communities in the Brazilian Cerrado
    Agro-industrial expansion in the Brazilian savannas (the Cerrado) is associated with deforestation and land conflicts, but its relationship with water issues remains under-studied. Drawing on the basin trajectory approach, we explore the transformations in water usage and water policies over the past 20 years, as well as the divergent explanations for water scarcity in the Corrente River watershed (western Bahia). We identify a process of basin closure: Soybean farmers exploit growing volumes of surface and groundwater for centre-pivot irrigation, while, in smallholder communities located downstream from the plantations, long-established gravitational irrigation systems are declining. The volume of water licensed to agro-industrial companies grew by 431% between 2013 and 2021. During a phase of 'water abundance' and poor hydrological knowledge, water pumping relied on the deregulation of state environmental policy. Since the water scarcity phase, starting in 2015, the irrigator-farmer group has had to face growing protest from social movements and warnings from the scientific community. Its narrative, focused on climate change and the spatial dislocation of the problem (from upstream to downstream), helps to disclaim responsibility for water scarcity. This controversy over the causes of water scarcity, added to the fragility of instruments of social participation, may explain why supply augmentation is still the main response of the state for coping with basin closure.
  • [hal-03060838] À qui profite la participation ?
    Ce texte analyse les transformations de la politique de l'eau au Liban. Le fondement de la réforme est la mise en oeuvre de la gestion intégrée des ressources en eau avec l'aide de la Banque Mondiale. L'application concrète de cette approche se heurte à de nombreuses difficultés. En effet, des oppositions institutionnelles et politiques pour le contrôle des ressources en eau transforment la participation de l'ensemble des " parties prenantes " et la gestion par bassin versant en enjeux territoriaux de tout premier ordre
  • [halshs-03345339] The challenge of assessing the proper functioning conditions of coastal lagoons to improve their future management
    The sustainable management of coastal lagoon hydrosystems is a key issue for the socioeconomic and environmental development of many coastal areas worldwide. Often maintained by direct or indirect groundwater supplies, they provide a large range of ecosystem services, from which human societies take advantage. Twenty years after its implementation, a large majority of the Mediterranean lagoons have still not reached the "good status" required by the WFD. Several questions then arise as to the representativeness of the WFD indicators or the relevance of the restoration objectives considering the complexity, evolutionary and unpredictable nature of lagoon hydrosystems. This study proposes an innovative, multidisciplinary, long-term approach to define the proper functioning conditions of a costal lagoon hydrosystems, i.e. all the factors that contribute to the functioning of coastal lagoon hydrosystems and the connectivity with other biodiversity reservoirs, be they ecological, hydrological, social or political. By considering the lagoons and all its hydrological, ecological and societal proper functioning conditions over almost 200 years, this approach makes it possible to assess the influence of past natural and anthropogenic disturbances and support the implementation of future relevant hydrosystem-based management plans which have to be coordinated and politically driven. Defining proper restoration and management objectives should ensure that ecological functions are maintained based on current and future ecosystem benefits and uses. Considering the highly unpredictable nature of coastal hydrosystems, the state of an ecosystem should not only be evaluated on ecological or chemical criteria but also take into account socioeconomic and political
  • [hal-03060839] Changement climatique et politiques territoriales
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HAL : Dernières publications


 

Chapitres d'ouvrages

HAL : Dernières publications
  • [hal-02060160] Le rôle des associations de propriétaires fonciers (ASA) dans la dynamique de la perception et de la gestion des risques environnementaux
    [...]
  • [hal-02060146] Typologie des systèmes d’exploitation
    [...]
  • [hal-00828660] Le contrat de canal : une contribution à un nouveau mode de gouvernance de la gestion de l'eau agricole à l'échelle locale ? Exemple du canal de Gignac
    Au cours de la dernière décennie, le paysage institutionnel des associations de propriétaires fonciers - les Associations Syndicales Autorisées (ASA) - formées au XIXème siècle dans le Midi de la France autour de la gestion de l'eau agricole, a beaucoup évolué. Il en résulte, à tous les niveaux d'intervention, l'apparition de nouvelles normes et règles d'accès et de partage des ressources. Face au péril que représentent, pour ces structures communautaires traditionnelles, les dispositions concernant la gestion quantitative, des solutions sont envisagées. Ainsi, la mise en place de contrats de canal vise à pérenniser ces ouvrages et à relever le défi de l'économie d'eau dans un contexte de déficit estival. Le canal de Gignac (Moyenne vallée de l'Hérault) est l'une des premières ASA à se doter de cet outil de concertation et de planification. On tentera, à partir des résultats d'enquêtes menées sur le périmètre du canal auprès de 50 agriculteurs et des gestionnaires, de comprendre le sens de cette forme innovante de gestion - cherchant à concilier les usages privés, les intérêts économiques et l'enjeu collectif qu'elle représente - et ses impacts prévisibles en matière de répartition sectorielle et territoriale des économies d'eau issues des politiques de modernisation.
  • [hal-04337949] Pratiques (interdisciplinaires) de la recherche géo-légale
    [...]
  • [halshs-01273037] Recompositions territoriales de la gestion de l'eau destinée à la consommation humaine : un essai de prospective
    En matière d'eau destinée à la consommation humaine (eau DCH), le problème public à résoudre a d’abord été celui de la desserte universelle. Il s'est transformé depuis une trentaine d'années en un enjeu de sécurisation, lié à l'accès à des ressources en eau et à des infrastructures garantissant la capacité de mettre en permanence à disposition des usagers une eau suffisante et de qualité conforme, à un coût acceptable. Il s'y est aussi ajouté depuis la montée en puissance des exigences réglementaires d'ordre environnemental liées aux directives européennes. Ainsi, l'organisation institutionnelle héritée de la période antérieure, avec son maillage de petits services fréquemment gérés en délégation, semble, aux yeux de nombreux acteurs et observateurs (chercheurs?), incapable de relever ce nouveau défi. De fait, on observe dans de nombreux territoires des stratégies de recompositions importantes, sous l'effet d'une injonction au regroupement intercommunal et intersyndical portée par des coalitions d'acteurs récurrentes, associant notamment services de l'Etat et acteurs territoriaux (Conseils Généraux, Agences de l'eau). De nouveaux arrangements territoriaux voient le jour, avec par exemple des schémas de type fédéral associant plusieurs échelons de responsabilité dans un cadre départemental. Parallèlement, cette rationalisation opère autour des pôles urbains, avec l'émergence de puissants services d'eau dans une part croissante des communautés d'agglomération et dans les communautés urbaines. Ces différentes logiques interagissent, autour de la préservation de la ressource en eau ou via des interconnexions de sécurisation qui dépassent largement les échelles locales initiales. On se propose dans cet article d'esquisser une vision prospective de l'organisation institutionnelle de la gestion de l'eau DCH. Prenant appui sur le repérage précis des dynamiques en cours, des acteurs qui les portent et de leurs leviers d'action, on proposera un scénario d'évolution tendancielle des services d'eau sur deux temporalités (court terme et moyen terme) ainsi que de possibles variantes.
  • [hal-03525108] Chapitre 3: Eau - Partie Gouvernance
    [...]
  • [hal-01585623] Eau potable : de la desserte universelle à la sécurisation
    Depuis la fin des années soixante-dix, la manière de poser le problème de l’alimentation en eau s’est progressivement transformée. D’un impératif d’universalisation de la desserte à domicile, on est passé à celui de sécurisation de l’eau destinée à la consommation humaine, ou eau DCH. Cette catégorie recouvre non seulement l’eau potable distribuée par les services mais également les eaux brutes utilisées pour la produire, autrement dit les ressources souterraines ou superficielles. Les contours de ce problème public ont été modelés par divers facteurs et se sont transformés avec le temps. Aux questions qualitatives et quantitatives initiales, soulevées assez précocement, se sont ajoutés plus tardivement les enjeux patrimoniaux, avec des inquiétudes sur la dégradation d’un réseau constitué de plusieurs centaines de milliers de kilomètres de tuyaux et sur l’aptitude des gestionnaires à en assurer le renouvellement, et enfin sociaux avec l’émergence des phénomènes de « pauvreté en eau » et la mise en place de divers dispositifs permettant de garantir un accès à l’eau potable pour tous. Aux facteurs de changement endogènes, liés par exemple à un certain épuisement du modèle classique de gestion par l’offre, se sont ajoutés des réorientations politiques fortes. La Directive cadre sur l’eau (DCE) de 2000 en particulier a déplacé le périmètre de concernement et d’intervention des gestionnaires de l’eau. L’article 7 fait ainsi de la qualité de la ressource le garant ultime de la qualité sanitaire de l’eau distribuée. Les gestionnaires sont dès lors désormais tenus tendanciellement à réduire le degré de traitement des eaux de consommation et donc à agir en amont sur la ressource, ce qui modifie notamment la frontière intersectorielle entre politique de l’eau et politique agricole.
  • [hal-03055300] Réforme territoriale de la politique de l’eau au Liban
    [...]
  • [hal-03056699] La politique européenne de l'eau et de l'environnement face aux enjeux de l'intégration Régionale
    [...]
  • [hal-03055299] Le bassin versant en question
    [...]


 

Ouvrages

HAL : Dernières publications
  • [hal-02603599] Les territoires de l'eau potable : chronique d'une transformation silencieuse (1970-2015)
    La fourniture d'eau potable est une problématique locale "par nature". Elle s'est construite en France sur un très dense maillage territorial à base communale. Ces services doivent désormais relever un nouveau défi : non plus celui de la généralisation de la desserte à domicile, mais celui, multidimensionnel, de la "sécurité en eau". Ce défi a conduit de nombreux acteurs à promouvoir et mettre en oeuvre une rationalisation des territoires de l'eau potable. Cet ouvrage apporte un éclairage original sur cette rationalisation : ses promesses, ses acteurs, ses réalisations et ses limites.
  • [hal-03049974] Les territoires de l'eau
    Quels territoires pour partager l'eau demain ? Les sécheresses et les inondations répétées de ces dernières années nous rappellent en effet combien la gestion de l'eau et des rivières sont des enjeux environnementaux, sociaux et économiques modernes, majeurs. Nos sociétés, dites modernes, se retrouvent malgré tout de plus en plus vulnérables face à des épisodes naturels violents dont l'intensité est pourtant loin d'être systématiquement extrême. Issus des multiples relations - variables dans le temps et dans l'espace - qui se tissent entre les sociétés et leurs ressources en eau, des territoires de l'eau se construisent, vivent, se confrontent, s'endorment, meurent et réapparaissent. A l'heure d'une nouvelle loi sur l'eau en France et d'une directive cadre européenne qui fixe des objectifs de qualité à l'horizon 2015, la question de la répartition de l'eau entre utilisateurs se pose avec acuité. Comment concilier les impératifs de la gestion de l'eau, de l'aménagement et du développement des territoires ? Quels usages de l'eau pour quels espaces ? Pour quels objectifs et selon quelles modalités ? Quelles échelles et articulations privilégier : territoire régional ? départemental ? intercommunal ? territoire naturel, hydrologique ? parc naturel régional ? pays? Autant de questions auxquelles cet ouvrage se propose de répondre. C'est donc sur le temps long (XVIe-XXIe siècle) que sont analysés les processus, les enjeux et les conflits liés à la gestion territoriale de l'eau.


 

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Rapports

HAL : Dernières publications
  • [hal-02060160] Le rôle des associations de propriétaires fonciers (ASA) dans la dynamique de la perception et de la gestion des risques environnementaux
    [...]
  • [hal-02060146] Typologie des systèmes d’exploitation
    [...]
  • [hal-01585623] Eau potable : de la desserte universelle à la sécurisation
    Depuis la fin des années soixante-dix, la manière de poser le problème de l’alimentation en eau s’est progressivement transformée. D’un impératif d’universalisation de la desserte à domicile, on est passé à celui de sécurisation de l’eau destinée à la consommation humaine, ou eau DCH. Cette catégorie recouvre non seulement l’eau potable distribuée par les services mais également les eaux brutes utilisées pour la produire, autrement dit les ressources souterraines ou superficielles. Les contours de ce problème public ont été modelés par divers facteurs et se sont transformés avec le temps. Aux questions qualitatives et quantitatives initiales, soulevées assez précocement, se sont ajoutés plus tardivement les enjeux patrimoniaux, avec des inquiétudes sur la dégradation d’un réseau constitué de plusieurs centaines de milliers de kilomètres de tuyaux et sur l’aptitude des gestionnaires à en assurer le renouvellement, et enfin sociaux avec l’émergence des phénomènes de « pauvreté en eau » et la mise en place de divers dispositifs permettant de garantir un accès à l’eau potable pour tous. Aux facteurs de changement endogènes, liés par exemple à un certain épuisement du modèle classique de gestion par l’offre, se sont ajoutés des réorientations politiques fortes. La Directive cadre sur l’eau (DCE) de 2000 en particulier a déplacé le périmètre de concernement et d’intervention des gestionnaires de l’eau. L’article 7 fait ainsi de la qualité de la ressource le garant ultime de la qualité sanitaire de l’eau distribuée. Les gestionnaires sont dès lors désormais tenus tendanciellement à réduire le degré de traitement des eaux de consommation et donc à agir en amont sur la ressource, ce qui modifie notamment la frontière intersectorielle entre politique de l’eau et politique agricole.